Faute de réponses, nouvelle lettre
Monsieur le ministre d'état,
vos services affirment ne pouvoir répondre qu'aux questions entrant dans votre domaine de compétence.
Mes précédentes lettres étant restées sans réponse, j'en déduis qu'elle devait se trouver sur votre site http://www.service-public.gouv.fr/ .
Aujourd'hui, je vous écrit à nouveau, ne trouvant nulle part la trace des frais financiers engagés par le ministère de l'intérieur afin de louer une salle de spectacle. Cette salle privée (dont la location est réglée par les contribuables) était probablement nécessaire afin de répondre à l'affluence de journalistes et militants UMP désirant assister au nouveau meeting du candidat à la candidature UMP en vue de l'élection présidentielle 2007.
Ignorant qui a payé la facture de cette location, je vous pose la question : est-ce l'état français ou l'UMP qui régle la location de la salle Gaveau ?
De plus, je contacte les gestionnaires de ce lieu.
En effet je crains fort un nouveau silence total de vos services.
En attendant une réponse rapide et précise, veuillez recevoir, monsieur le ministre de l'Interieur, mes salutations républicaines.
Hervé Perrot
vos services affirment ne pouvoir répondre qu'aux questions entrant dans votre domaine de compétence.
Mes précédentes lettres étant restées sans réponse, j'en déduis qu'elle devait se trouver sur votre site http://www.service-public.gouv.fr/ .
Aujourd'hui, je vous écrit à nouveau, ne trouvant nulle part la trace des frais financiers engagés par le ministère de l'intérieur afin de louer une salle de spectacle. Cette salle privée (dont la location est réglée par les contribuables) était probablement nécessaire afin de répondre à l'affluence de journalistes et militants UMP désirant assister au nouveau meeting du candidat à la candidature UMP en vue de l'élection présidentielle 2007.
Ignorant qui a payé la facture de cette location, je vous pose la question : est-ce l'état français ou l'UMP qui régle la location de la salle Gaveau ?
De plus, je contacte les gestionnaires de ce lieu.
En effet je crains fort un nouveau silence total de vos services.
En attendant une réponse rapide et précise, veuillez recevoir, monsieur le ministre de l'Interieur, mes salutations républicaines.
Hervé Perrot